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Léa Nature mise sur sa nouvelle usine de cosmétiques

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Léa Nature mise sur sa nouvelle usine de cosmétiques

Charles Kloboukoff, le PDG fondateur de Léa Nature, ne cachait pas son soulagement, jeudi 5 septembre au moment d’inaugurer sa nouvelle unité de production de produits d’hygiène, capillaires, de soins et de maquillage, juste en face des locaux historiques du groupe qui emploie aujourd’hui plus de 1  250  collaborateurs.

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Charles Kloboukoff, le PDG fondateur de Léa Nature, ne cachait pas son soulagement, jeudi 5 septembre au moment d’inaugurer sa nouvelle unité de production de produits d’hygiène, capillaires, de soins et de maquillage, juste en face des locaux historiques du groupe qui emploie aujourd’hui plus de 1  250  collaborateurs. « C’est un gros bébé de 22 millions d’euros qui voit le jour alors qu’à l’origine la cosmétique était un métier de diversification pour nous », a confié tout sourire le patron.

Merveille technologique

Ce bâtiment flambant neuf, qui s’étend sur 6 500 m2, est une merveille technologique.

Franck Dechâtre, le directeur du site recruté en mars dernier pour diriger l’unité, n’a pas manqué de le souligner. « Nous avons des zones blanches, où il y a une forte filtration de l’air et une cascade de pressions et de surpressions pour évacuer l’air. » A l’extérieur, les eaux utilisées sont décantées naturellement. Dans le même esprit, le bâtiment a été construit au maximum avec des matériaux naturels et si possible, comme pour la charpente, de bois locaux (du pin des Landes surtout).

« Du mal à suivre »

120 salariés y évolueront lorsque l’usine tournera à plein régime, dont « 30 à 40 créations de postes », a précisé Charles Kloboukoff. « Actuellement elle fonctionne à 35  % de sa capacité, estime le directeur de site. Notre but est d’arriver à 60 à 70  % de son potentiel d’ici la fin de l’année. » A pleine capacité, l’usine pourra produire 40 millions de tubes et flacons, soit 3 fois plus que l’ancienne unité, qui était tassée dans les anciens locaux de Périgny. « Mais le marché actuellement n’est que de 28 millions d’unités », a indiqué le PDG pour signifier que la production maximale ne sera atteinte que progressivement. Cela tombe bien, « nous avons une croissance qu’on a du mal à suivre », a confié Charles Kloboukoff.

O. G.

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