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L’industrie fait de l’œil au Critt Sport et Loisirs

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L’industrie fait de l’œil au Critt Sport et Loisirs

Créé il y a presque trente ans, les missions du Critt de Châtellerault évoluent. Structure habilitée à certifier les équipements sportifs et de loisirs, le Critt déploie ses savoir-faire à d’autres secteurs et à l’échelle internationale.

Leplanquais 2W

Créé il y a presque trente ans, les missions du Critt de Châtellerault évoluent. Structure habilitée à certifier les équipements sportifs et de loisirs, le Critt déploie ses savoir-faire à d’autres secteurs et à l’échelle internationale.

Vélo, moto, casque, gilet de sauvetage, acoustique, optique … Le Critt Sport et Loisirs a tout les équipements pour tester la sécurité des produits avant leur commercialisation. Efficacité et performance sont les maîtres mots du Critt de Châtellerault.

 

A la tête de la structure depuis 20 ans, Franck Leplanquais aimerait que ce centre régional dédié aux sports deviennent un guichet unique. « De l’optimisation, jusqu’à la mise sur le marché, nous sommes en mesure de tout contrôler ! Après les casques de vélo, nous avons évolué vers l’équipement complet de sécurité pour les motards et petit à petit nous dévions vers l’industrie. Nous sommes en mesure de proposer plus de 10 000 applications et l’industrie offre un vrai potentiel. »

Le Critt séduit les Américains

De retour d’un voyage d’affaires à Houston, Franck Leplanquais est conforté dans ses choix de développement.

« Nous n’avons pas à rougir de nos connaissances. Certes les Etats-Unis ont de l’argent, mais nous, nous avons aussi des talents. Le directeur du service recherche et développement du Methodist Hospital nous a rendu visite. Il a été bluffé par la capacité de nos robots et notamment le robot chirurgien du CHU de Poitiers. Nous allons poursuive les échanges et nous nous retrouverons en mai à Bordeaux pour la suite de la collaboration. » Le Critt n’en est pas à son premier coup d’essai avec les Etats-Unis. Actuellement, il est en négociation avec un laboratoire américain qui travaillent sur les casques du Super Bowl. « Nous avons créé de la valeur ajoutée. Nous n’avons pas de pétrole, mais nous avons des idées ! La France n’a pas de complexes à avoir, par contre, elle doit veiller à la fuite des cerveaux si elle souhaite converser ce rayonnement. »

Lydia De Abreu

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