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Pourquoi pas la ruche accompagne vers l’emploi

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Pourquoi pas la ruche accompagne vers l’emploi

Dans la quartier des Trois Cités à Poitiers, depuis 1986, Pourquoi pas la ruche permet à des personnes en recherche d’emploi de rebondir. Restauration ou blanchisserie, repassage, couture, les deux chantiers d’insertion emploient 26 femmes et hommes. Face aux activités en croissance, les espaces ont été repensés.

Dans la quartier des Trois Cités à Poitiers, depuis 1986, Pourquoi pas la ruche permet à des personnes en recherche d’emploi de rebondir. Restauration ou blanchisserie, repassage, couture, les deux chantiers d’insertion emploient 26 femmes et hommes. Face aux activités en croissance, les espaces ont été repensés. 

Les habitants de Poitiers avaient répondu nombreux, vendredi 7 février, à l’inauguration des très attendus, nouveaux espaces de travail de Pourquoi pas la ruche. 

Dans le quartier des Trois Cités, l’association gère deux chantiers d’insertion par l’activité économique. Ainsi, le restaurant social et solidaire les Quatr’Epices bénéficie d’une nouvelle cuisine de 100 m2. Avec l’espace libéré, un nouvel atelier de repassage de 60 m2 a pu prendre place, avec une partie blanchisserie. Enfin, une activité de retouche-couture a pu être créée. Et depuis quatre mois, les créations (pochettes, charlottes pour récipients, tabliers, lingettes, doudous …) rejoignent ainsi la boutique de vêtements Couleur Miel. 

« L’aventure a commencé en 1986, par la mobilisation d’un groupe de femmes du quartier, souligne Francine Mesmin, présidente de l’association. Epaulée par la CAF et la ville de Poitiers, Pourquoi pas la ruche répond à la précarité économique, à l’isolement des familles, au chômage. Elle favorise les liens intergénérationnels, la solidarité, l’engagement et œuvre pour l’insertion sociale et professionnelle. » Elle compte 800 adhérents, 8 salariés et 26 contrats à durée déterminée d’insertion répartis sur les deux activités (11  pour le restaurant et 15 pour la boutique-repassage). 

« Depuis 2007 et l’aménagement dans les locaux actuels, l’association souhaitait développer ces activités avec deux objectifs : créer de l’emploi et arriver à un équilibre financier. » La croissance s’est faite de façon continue. Le restaurant sert aujourd’hui en moyenne 100  repas par jour. Et face à ces chiffres, la cuisine n’était plus fonctionnelle et trop exiguë. 

Retrouvez la suite de l’article dans le n°8 du 20 février 2020.

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