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Marie Montassier baigne en plein bonheur !

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Marie Montassier baigne en plein bonheur !

Il y a 3 ans, Marie Montassier ouvrait son premier « bébé » La Baignoire, un concept original à Poitiers. Ce 1er avril, elle continue avec sa 2ème enseigne un Beauty Bar en plein centre-ville. Elle a eu du flair et propose un lieu aussi unique que chic pour être au top en quelques minutes !

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Il y a 3 ans, Marie Montassier ouvrait son premier « bébé » La Baignoire, un concept original à Poitiers. Ce 1er avril, elle continue avec sa 2ème enseigne un Beauty Bar en plein centre-ville. Elle a eu du flair et propose un lieu aussi unique que chic pour être au top en quelques minutes !

Ses talons sont aussi hauts que son ambition et son sourire aussi grand que sa personnalité. Marie Montassier est un bout de femme élégante qui sait ce qu’elle veut. Alors qu’elle suivait un chemin qui n’était pas le sien, elle a eu le courage d’écouter son cœur et s’est donné les moyens de faire de sa passion son métier.

Une élève brillante

Marie Montassier fait partie de ceux qui ont des « facilités ». Au lycée à Châtellerault, elle préférait maquiller ou faire les ongles de ses copines plutôt que d’ouvrir ses cahiers. Née en octobre et extrêmement douée, elle décroche son bac économique et social à 16 ans. « A ce moment là, je n’imaginais pas que l’esthétique pouvait être un métier, je devais faire de grandes études. Entre une prépa de commerce, médecine ou droit, je me suis dit que le droit serait le plus facile. » Elle décroche sa licence en 5 ans, travaille comme guide au Futuroscope et complète sa formation avec un master en immobilier. « Pendant l’été, j’ai suivi un stage dans une agence et à la fin on m’a proposé d’être embauchée. Enfin, je pouvais arrêter les études et je suis devenue négociatrice immobilier. » L’engouement sera de courte durée, un confrère se rend compte de son talent et lui propose de s’associer. « J’avais la carte d’agent immobilier et pas lui, nous avons ouvert Vend’Immo à Neuville, j’avais 23  ans. » L’aventure dure deux ans, mais Marie Montassier sent bien que ce n’est pas la voie qu’elle doit poursuivre et a une révélation. « Un matin, je me suis demandé qu’est-ce que je faisais pour moi ? J’ai vendu mes parts et à 25 ans, j’ai passé mon CAP esthétique avec des jeunes filles de 17 ans, c’était sympa car nous étions animées par la même passion. » Diplomée, elle rejoint un petit salon à Buxerolles pendant trois ans. « La dernière année, ma patronne m’a laissé gérer l’entreprise toute seule et un jour, une jeune fille motivée vient à ma rencontre pour faire un stage, ça a été le coup de foudre du travail. Au bout d’un mois, Aurélie Fraudeau me présente un concept très original de centre de beauté. J’adhère tout de suite ! Je me posais déjà la question de reprendre le salon de ma patronne, mais là, elle proposait l’idée du siècle, j’ai été séduite par son assurance et son ambition. En 9 mois, telle une gestation, nous avons donné naissance à notre bébé, La Baignoire le 18  octobre 2013. » Dès le départ, l’entreprise connaît un succès fulgurant, les aquabikes individuels cartonnent, les Poitevines en raffolent et se délectent des services beautés proposés.

Nouvelle aventure seule

Finalement pas à l’aise dans un milieu qui n’était pas le sien, Aurélie Fraudeau, infirmière de formation, quitte Marie Montassier pour vivre de nouvelles aventures. « C’était le 1er avril 2015. Nous avions des projets, mais pas à la hauteur d’Aurélie. Nous nous sommes séparées en bonne intelligence et je me suis retrouvée seule aux manettes, j’ai embauché une salariée. » L’été dernier, au détour d’une balade en centre-ville, elle tombe sur un local rue Magenta à Poitiers et c’est le coup de foudre. « J’avais dans ma tête l’idée de créer un lieu pour les femmes actives, pressées, les femmes qui ont 10 vies dans une journée, je voulais leur offrir un moment bien-être sans avoir à leur faire perdre du temps. » Ainsi est née le 1er avril La baignoire Beauty bar. Un joli pied de nez au destin. « Quand la passion nous anime, nous sommes capables de beaucoup de choses, mais j’avoue que ce deuxième bébé a été fait dans la souffrance, il faut sortir de sa zone de confort. C’est dur, mais quelle satisfaction depuis l’ouverture. »

Lydia De Abreu

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