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Le nouveau visage du Manoir de Beauvoir

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Le nouveau visage du Manoir de Beauvoir

Vincent Guinebretière est à la tête du Manoir de Beauvoir, à Mignaloux, depuis quatre ans. C’est le temps qu’il lui a fallu pour donner un coup de jeune à ce domaine.

Il y a quatre ans, Vincent Guinebretière a répondu à un nouveau chalenge : prendre la direction du Manoir de Beauvoir. Nom de la société : Garrigae. Objectif : faire que le client se sente comme à la maison. Depuis, l’établissement a fait peau neuve. Chambres, cuisines, réception, salles de réunion, tout a été refait à neuf avec, cerise sur le gâteau, un spa officiellement ouvert cet été bien que freiné par un certain Covid et ses normes sanitaires très strictes. 

Qu’à cela ne tienne, Vincent Guinebretière s’adapte. Chaque nouveau jour apporte son lot de surprises, d’interrogations, et c’est ce qui fait avancer cet homme d’affaires depuis les bancs de l’école. Il faut dire que ça n’était pas n’importe quels bancs puisque c’est à l’Ecole Hôtelière de Lausanne que ce natif de la Beaule a découvert le métier et confirmé sa vocation. Il a passé quatre ans à apprendre le travail, les métiers de l’hôtellerie, des cuisines à la partie traiteur en passant par le service, la gestion, le monde de la fête  … l’excellence. « C’est aussi le moment où l’on apprend l’importance des réseaux », complète ce passionné. 

Entre 1994 et 2017, il dirigera différents établissements en France, voire même un hôtel 5  étoiles en Roumanie. Il gèrera des grands comptes, des clientèles prestige. En tant que responsable de projets pour le traiteur parisien Potel & Chabot, il gèrera les événements pour les marques du luxe au pavillon Gabriel ou s’occupera de la restauration pendant le tournois de tennis Roland Garros. Entre autres.

Jamais le dernier défi

Si la liste de ses expériences professionnelles est longue, c’est que ce passionné ne se nourrit pas de routine. « Ça n’est jamais mon dernier défi. J’ai la chance d’être face à des humains. J’ai envie que mon équipe vienne chaque matin accomplir une mission et non chercher un salaire. Dans nos métiers, il y a des hauts, des bas, de l’émotion. Ce sont ces challenges qui rendent la vie beaucoup plus intéressante et qui font que l’on mérite son salaire. Travailler uniquement pour toucher son chèque en fin de moi, c’est subir sa vie. Il faut être acteur de sa vie et c’est ce que je veux transmettre à mon équipe. »

Et comme un challenge peut en cacher un autre, Vincent Guinebretière a pris la présidence du Club des Hébergeurs de la Vienne, fin septembre, avec ses 42 membres représentant 70 % de la capacité hôtelière du territoire. En pleine pandémie de Covid et toutes ses conséquences pour le milieu de l’hôtellerie, il souhaite « ramener Poitiers plus près du Futuroscope ». Une vaste mission qui pourrait bien répondre aux nouvelles demandes de la clientèle qui cherche plus d’espace, de nature.

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